Matthias Fekl prend la température à Nancy

Rencontre le 2 février en préfecture de Meurthe-et-Moselle à Nancy entre Matthias Fekl, secrétaire d’État chargé du commerce extérieur et des entreprises locales. Si les dispositifs du gouvernement pour accompagner les PME à l’exportation sont présents, il n’en demeure pas moins que bon nombre de TPE ont toujours du mal à franchir le pas. Un tutorat entre grands groupes aguerris à l’export et entreprises novices en la matière pourrait se mettre en place.

Matthias Fekl (à gauche), secrétaire d’État chargé du commerce extérieur, était à Nancy le 2 février pour rencontrer les entreprises locales.
Matthias Fekl (à gauche), secrétaire d’État chargé du commerce extérieur, était à Nancy le 2 février pour rencontrer les entreprises locales.
Matthias Fekl (à gauche), secrétaire d’État chargé du commerce extérieur, était à Nancy le 2 février pour rencontrer les entreprises locales.

Matthias Fekl (à gauche), secrétaire d’État chargé du commerce extérieur, était à Nancy le 2 février pour rencontrer les entreprises locales.

«Il faut jouer dans l’économie mondiale» en passant par «notre pays doit continuer à être offensif à l’international.» Formules que connaissent très bien les chefs d’entreprise présents lors de la rencontre avec Matthias Fekl, le secrétaire d’État chargé du commerce extérieur, le 2 février en préfecture de Meurthe-et-Moselle.

Complexité au pluriel…

Si les dispositifs existent, à l’image de la création de Business France (fusion entre Ubifrance et l’Agence française des investissements internationaux) visant à renforcer le développement international des entreprises nationales et l’attractivité des territoires, il n’en demeure pas moins que la réalité terrain et les difficultés rencontrées, principalement par les TPE pour franchir le cap, sont toujours bien présentes. «Les TPE n’ont pas les moyens financiers d’exporter», assure Étienne Malher, le président de la CGPME 54 suivi dans ses dires par Denis Renaud du Medef 54 : «la plupart des entreprises qui vont à l’export en ont les moyens.» À ce problème récurrent de fonds (lié au manque de soutien des banques) s’ajoutent une complexité au niveau des normes et une complexité administrative toujours mise en avant. Sur ce point précis, les choses avancent dans le bon sens d’après le représentant du gouvernement. Toutes les bonnes volontés sont réunies, y’a plus qu’à…