Jean-Pierre Raffarin en pédagogue au Dynacentre

Jean-Pierre Raffarin, le vice-président du Sénat a participé à l’inauguration du Dynacentre le 7 juillet sur le Dynapôle de Ludres-Fléville. L’occasion pour l’ancien premier Ministre de Jacques Chirac de rencontrer les chefs d’entreprises en attente de véritables réponses de la part des politiques aujourd’hui.

«Il faut relancer l’investissement et créer des richesses en France», assure Jean- Pierre Raffarin, le vice-président du Sénat.
«Il faut relancer l’investissement et créer des richesses en France», assure Jean- Pierre Raffarin, le vice-président du Sénat.
«Il faut relancer l’investissement et créer des richesses en France», assure Jean- Pierre Raffarin, le vice-président du Sénat.

«Il faut relancer l’investissement et créer des richesses en France», assure Jean- Pierre Raffarin, le vice-président du Sénat.

«Il existe un décalage entre les discours de Paris et la réalité économique des territoires.» La formule fait tout de suite mouche dans un l’auditoire d’entrepreneurs et d’acteurs économiques le 7 juillet à l’occasion de l’inauguration offcielle du Dynacentre, la Maison des entreprises de la ZA de Ludres-Fléville (détails complets sur ce nouvel outil dans notre prochain numéro). À la tribune, Jean-Pierre Raffarin, vice-président du Sénat et ancien premier Ministre sous Jacques Chirac, est venu disserter sur «comment rendre l’action publique en direction des entreprises plus effcace ?»

Pour une pédagogie nationale

Après avoir égratigné dans les règles (mais légèrement) la politique gouvernementale aujourd’hui menée, «on voit qu’il existe un intérêt pour mener une politique envers les entreprises mais on ne voit cependant rien venir», Jean-Pierre Raffarin dresse les pistes (ses pistes) à suivre «pour relancer l’investissement et créer des richesses en France.» Faire croître les PME pour en faire de véritables ETI (Entreprises de taille intermédiaire), véritable carence hexagonale. Bannir la fscalité anti-entreprises et simplifer les univers réglementaires et normatifs. «Tout pourra se faire s’il existe une véritable pédagogie nationale pour le faire comprendre et l’admettre.» L’auditoire est conquis à la cause, «enfn un politique qui semble comprendre nos problèmes», assure un participant à la fn de la réunion. Une rencontre qui avait presque un avant-goût de 2017…