Avec plus d’un million de transactions en 2020, le marché de l'immobilier a traversé la crise sans grands dommages, mais la pandémie a engendré un rééquilibrage en faveur de la province, d'après la FNAIM. Celle-ci alerte sur les effets non mesurés des nouvelles mesures gouvernementales.
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Les mesures gouvernementales sur le logement ne font pas l’unanimité, c’est un euphémisme de l’écrire, auprès des professionnels de l’immobilier et de l'habitat. En Moselle, le président de la Fédération BTP, Pierre Schaeffer, dit «regretter que des considérations financières priment sur l’une des priorités des Français : se loger.» Le dossier est sensible, car, comme souvent ce qui est décidé à l’échelon national, aura des répercussions sur l’économie du local, et certainement pas de façon homéopathique.
Mieux concilier impératifs écologiques et contraintes financières en matière de rénovation énergétique, favoriser l'accès à la propriété... Lors de son récent congrès, le dernier avant l'élection présidentielle, la FNAIM a dévoilé ses propositions pour une politique publique plus efficace en matière de logement. Et mis en garde contre l'émergence possible de «gilets verts».
Après dix ans de croissance, l’immobilier fait face à un bouleversement du marché pour les professionnels et une crise socio-économique susceptible de décourager les ménages, d’après la Fnaim. Le déconfinement a toutefois marqué un regain d’activité. La fête est terminée : la fort…